Étymologie

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Dérivé de red (« courant, cours, course »), avec le suffixe -ek.
Du moyen breton redec, issu du vieux breton retec[1][2].
À comparer avec les verbes rhedeg en gallois, resek en cornique (sens identique).

redek \ˈreː.dɛk\ intransitif et transitif direct (voir la conjugaison), base verbale red-

  1. Courir.
    • Uhel-bintet ha fall-wisket a laka an dud da redeg ? - Ar cʼhlocʼh. — (Jules Gros, Le trésor du breton parlé (Eléments de Stylistique Trégorroise) - Troisième partie - LE STYLE POPULAIRE, 1974, page 331)
      Haut-perché et mal-habillé fait courir les gens ? - La cloche.
  2. (Mécanique des fluides) Couler (cours d'eau, etc.).

Variantes orthographiques

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Dérivés

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Prononciation

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Anagrammes

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Références

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  1. Jehan LagadeucCatholicon, Tréguier, 1499
  2. Albert Deshayes, Dictionnaire étymologique du breton, Le Chasse-Marée, Douarnenez, 2003, page 617b

Étymologie

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Composé de re, de et -k.

Nom commun

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La zone noircie correspond à ce qu’on appelle « redek ».

redek \rɛˈdɛk\ ou \reˈdek\ ou \reˈdɛk\ ou \rɛˈdek\

  1. Zone radiale entre R et D (roue matricielle), la zone qui s’étend du rayon sud-ouest au rayon nord-est dans le sens dextrorsum, c’est-à-dire la partie la plus à gauche, la plus occidentale et la plus haute, la plus septentrionale par opposition à l’autre hémisphère ayant pour bornes D et R et que l’on nomme : derek.

Prononciation

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Anagrammes

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