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Bascons

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Bascons
Bascons
L'église Saint-Amand.
Blason de Bascons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays grenadois
Maire
Mandat
Nicolas Raulin
2020-2026
Code postal 40090
Code commune 40025
Démographie
Gentilé Basconnais, Basconnaises
Population
municipale
856 hab. (2021 en évolution de −1,83 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 21″ nord, 0° 25′ 03″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 107 m
Superficie 18,70 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Adour Armagnac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bascons
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Bascons
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Bascons
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Bascons
Liens
Site web www.bascon.fr

Bascons est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation

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Commune de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan située dans le pays de Marsan au sud est de Mont-de-Marsan

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Artassenx, Bretagne-de-Marsan, Grenade-sur-l'Adour, Laglorieuse, Maurrin, Mazerolles et Saint-Maurice-sur-Adour.

Hydrographie

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Situé dans le bassin versant de l'Adour, le territoire de la commune est traversé[2] par le ruisseau de Saint-Jean, un affluent droit de l'Adour, et par le ruisseau des Marians.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 019 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Grenade-sur-l'Adour à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 009,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Patrimoine environnemental

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La commune a aménagé un site d'observation de la faune (colverts, hérons, grèbes, aigrettes, milans noirs) et la flore (arborescente, arbustive et herbacée) de 50 ha, Avifaune. Son lac collinaire, alimenté par le ruisseau des Longs (ou ruisseau de Saint-Jean), est ceinturé d'une végétation fournie et protégée[10].

Au , Bascons est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,5 %), forêts (20 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (2,8 %), eaux continentales[Note 2] (1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bascons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Bascons est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bascons.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 37,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 393 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 134 sont en aléa moyen ou fort, soit 34 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Les Vascons s'installent en Aquitaine au VIe siècle. C'est à eux que le village de Bascons doit vraisemblablement son nom[23]. Selon la légende, saint Amand, évangélisateur mérovingien, réalise vers 670 des miracles, ce qui lui vaut d'être célébré dans une chapelle bâtie près d'un puits qui attire des pèlerins venus pour ses eaux salvatrices. Durant le Moyen Âge, Bascons est le siège de la cour dels Sers, cour de justice de la vicomté de Marsan et la réputation du château fort se renforce. La guerre de Cent Ans et les guerres de Religion[24] mettent à mal la petite cité qui va dès lors perdre de son importance[10].

Héraldique

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Blason Blasonnement :
Écartelé : au 1er d’azur à trois seaux d’argent, au 2e d’or à deux vaches de gueules, accornées, onglées et clarinées d’azur, l’une au-dessus de l’autre, au 3e d’or au lion de gueules, au 4e de gueules à deux clefs affrontées d’or ; sur le tout, d’azur à la fleur de lis d’or[25],[26].
Commentaires : Devise : « bielh mes tendes hardit » (« ancien mais toujours audacieux »).

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2006 Jean-Robert Lauron   Chef technicien des services vétérinaires
mai 2006 2014 Claude Lespes   Retraité
2014 2020 Jean-Luc Sanchez DVG Technicien telécoms et réseaux
2020 En cours Nicolas Raulin    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28]. En 2021, la commune comptait 856 habitants[Note 3], en évolution de −1,83 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6421 0241 0671 1501 1501 1101 0331 0621 032
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0801 0601 034918945871816812800
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
782760712617635582578537563
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
594620608673823867941901860
2021 - - - - - - - -
856--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Drapeau de la France Bartenheim (France), en souvenir des civils alsaciens qui ont trouvé refuge dans le village landais au début de la Seconde Guerre mondiale.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Amand de Bascons du XIIIe siècle et reconstruite en 1626, inscrite à l'inventaire des monuments historiques le 23 septembre 1970, dotée d'un clocher-pignon triangulaire à arcades et d'une tour de guet, vestige de l'ancien château, comprenant échauguettes, meurtrières et créneaux. Elle renferme des statues de bois doré et polychrome, trois retables anciens, une chaire de style Louis XIII[10].
  • Les œuvres du sculpteur Marcel Canguilhem (1895-1949), dit « Cel le Gaucher » en raison de son bras droit perdu au combat pendant la Première Guerre mondiale
  • La chapelle, la source et le puits miraculeux de Saint-Amand, le saint patron de la commune. L'eau dite miraculeuse du puits permettait de soigner la pellagre qui sévissait jadis en Gascogne. La chapelle Saint-Amand est érigée sur le site du puits en 1946. Elle est surmontée d'un clocher-mur doté de trois cloches[31].
  • Le fronton, érigé entre 1939 et 1945, connaît son heure de gloire avec la venue du pelotari Chiquito de Cambo. Rénové en 1994 (sol et mur), ses dimensions ont permis son homologation par la Fédération française de pelote basque[31].

Patrimoine environnemental

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Dans son palmarès 2012, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[32].

Personnalités liées à la commune

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  • G. Lataste (1849-1923) « le médecin des pauvres », maire de la commune de 1884 à 1903 et de 1904-1908 (stèle commémorative devant la mairie du village).

Vie pratique

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Service public

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Enseignement

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Course landaise

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La tradition tauromachique est ancienne et perdure dans la commune. En témoignent au bourg les arènes Jean-de-Lahourtique, construites en 1935 et particulièrement typiques, et celles du quartier de Bostens, où se dresse la chapelle médiéval restaurée Notre-Dame-de-la-Course-Landaise, et le musée de la course landaise, placé sous l'égide de la Fédération française de la course landaise. Chaque année, pour l'Ascension, des pratiquants de la course landaise et des sympathisants se réunissent à Bascons pour une messe commémorative et une course landaise.

Activités sportives

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Écologie et recyclage

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. SANDRE, « Cours d'eau de la commune de Bascons »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Bascons et Grenade-sur-l'Adour », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Grenade-sur-Ad » (commune de Grenade-sur-l'Adour) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Grenade-sur-Ad » (commune de Grenade-sur-l'Adour) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b et c Bascons, Nature et traditions des Landes
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bascons ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Les risques près de chez moi - commune de Bascons », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. De Vascons dérivent également les noms Gascon et Basque
  24. Voir : Guerres de Religion dans les Landes
  25. Site de la mairie
  26. de France
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a et b Pays Grenadois, plaquette éditée par l'office de tourisme du pays Grenadois, consultée en décembre 2011
  32. Site des Villes et Villages fleuris, consulté le 21 février 2013.